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Mon Environnement

Avertissement :

Les noms des cours d’eau, ne sont pas exhaustifs

Nous mentionnons seulement les poissons les plus pêchés,

Les différents noms vernaculaires des poissons ne sont indiqués qu’à titre indicatif et non exhaustifs.

Les modes de pêche que nous mentionnons sont ceux qui se pratiquent (ou se pratiquaient) le plus couramment dans les cours d’eau que nous mentionnons dans cet article. Les autres modes de pêche seront mentionnés lorsque nous parlerons d’autres cours d’eau et  que s’ils sont ou ont été pratiqués.

Vous pouvez apporter des modifications, des rectifications ou de nouvelles informations en nous écrivant ou nous envoyant un courriel.

I - Les ruisseaux affluents de la Baïse sur les communes de l’ALBRET

 

                Vianne  et alentours

 

Ruisseau de Laroche

 - longueur environ 2900 m – largeur 1,20m – ruisseau intermittent alimenté par quelques sources – il prend naissance au pré Laffite sur la commune de Montgaillard. Affluent de la Baïse

Ruisseau de Naou ou Bourdieu ou Pinot

-longueur d’environ 2300 m – largeur d’environ 1,10m- ruisseau intermittent alimenté par quelques sources – il prend naissance au pré de Brouil  –affluent de la rivière Baïse

Ruisseau de Lagatère ou Lagataire

-longueur d’environ 2200m – la               largeur d’environ 0,80m – il prend naissance au pré de gajan »  - affluent de la rivière Baïse

Ruisseau de Cautant

-longueur d’environ 3400m – largeur d’environ 1,50m – il prend naissance au pré de Pourcadisse. Affluent de la rivière Baïse

Ruisseau de Hardeuille

-longueur d’environ 1700m –largeur d’environ 0,80m – il prend naissance au pré Cocut sur la commune de Lavardac – affluent de la rivière Baïse

Ruisseau de Rouach

C’est un affluent de la rivière Baïse – sa longueur est d’environ 1400 m – sa largeur est d’environ 0,52m

Ruisseau de Peille

C’est un affluent de la rivière Baïse –  Il prend naissance à Peille - sa longueur est d’environ 200 m – sa largeur est d’environ 0,40m

Ruisseau de Fongrane et ses affluents

Ruisseau de Fongrane

Il prend naissance sur la commune de Mongaillard au lieudit « peyrouet » et porte le nom de Cousteau. A la confluence avec le ruisseau de Berdoulet il prend le nom de Fongrane. C’est un affluent de la Baïse rive gauche

Ruisseau de de Berdoulet

Il prend naissance au pré de faton sur la commune de Mongaillard et est un affluent du ruisseau de Fongrane. Sa longueur est d’environ 2250m et sa largeur d’environ 1,5m.

 

Ruisseau de Saint Orens ou Saint Ourens ou Saint Aurens

Il prend naissance au pré de saint Orens. Sa longueur est d’environ 945 m et sa largeur d’environ 1m et est un affluent du ruisseau de Berdoulet.

 

Ruisseau le Galop et ses affluents

Ruisseau le Galop

Sa longueur est d’environ 10440m – sa largeur est d’environ 2,80m – il prend naissance au lieudit bourdieu neuf. Il a de nombreux affluents : ruisseau de Cahuzac – ruisseau de la Tuque - -ruisseau de buis – ruisseau de Caumon ; lesquels ont également quelques petits affluents.

Ruisseau  de la Tuque

C’est un affluent du ruisseau le Galop – il prend naissance au pré Latuque – sa longueur est d’environ 300m – sa largeur est d’environ 0,80m

Ruisseau de buis

C’est un affluent du ruisseau le Galop – il prend naissance au pré de Gardières – sa longueur est d’environ 1700m – sa largeur d’environ 0,80m

Ruisseau de Caumon

C’est un affluent du ruisseau le Galop – il prend naissance au pré Lalagüe – sa longueur est d’environ 3000m – sa largeur est d’environ 1 ,30m

Ruisseau  de cahuzac

Il prend naissance au lieudit pré de Gaulet » - sa longueur est d’environ 4300m – sa largeur est d’environ 1m.

 Ruisseau La Rouy ou le Caparoujat

C’est un affluent du ruisseau de cahuzac – il prend naissance au pré Jeanson – sa longueur est d’environ 1500m – sa largeur d’environ 0,80m.

Ruisseau de Bourdieuneuf ou Bordeneuve

C’est un affluent du ruisseau de Cahuzac – sa longueur est d’environ 900m – sa largeur d’environ 0,70m – il prend naissance au pré Bros.

II - Les peuplements piscicoles et amphibiens sur ces cours d’eau

Les amphibiens les plus connus que l’on peut rencontrer

Familles des Anoures

 Crapaud Commun – Bufalo bufalo – se déplace en marchant par petits bonds

Famille des Urolidés

Salamandre tachetée – Salamandra salamandra – elle possède des taches ou lignes jaune – section de la queue arrondie.

Tritons palmé –Lissotriton (Tutricus) helvéticus – il a des bourrelets latéro-dorsaux - les pattes palmées – la queue trochée terminée par un filament – ventre jaunâtre

Grenouille agile –Rana dalmatina – papilles sont horizontales –un museau pointu – teinte marron –peau fine et lisse

Grenouilles vertes, il existe e nombreuses variétés de genouilles verts.

 

Peuplement piscicole

Sur les principaux cours d’eau l’on rencontre quelques espèces bien connu de tous

Goujon- Gobio gobio Linné – famille des Cyprinidés

Différents noms par rapport aux régions :  Govion, Goiffon, Touret, Gouvion, Goffi, Goyon, Goiffon, Goujonette.

Meridional : Gofi, Grougnau, Tregan, Troga, Grouzeau.

Alsace : Kress, gressling, Grinling

Sud-ouest : Moustachu

Biologie –écologie

Maturité sexuelle  à 2 ans, plus rarement à 1 an, voire 3-4 ans.

Reproduction d’avril à juillet avec un pic en mai-juin

Espèce fouisseuse qui vit en bancs et se nourrit de proies benthiques (larves d’insectes, oligochètes, mollusques etc.)

La pêche du goujon.

Voir La réponse dans le Quiz

 

Vairon – Phoxinux phoxinus Linné– famille des Cyprinidés

Différents noms par rapport aux régions : Véron, Viron, Viroun, Voiron, Vézon, Amoron, Blavin, Cassot, Cuzeau, Gendarme, Gravier, Grévier, Grisette, Lebette, Loque, Sardine, Verdelet, verdon, Véricle, Verné,  Viron,

Basque, Cippa

Béarn : Pesquit, Chippe

Alszace, Edling, Wetling, Sprille

Méridional, Verrou, Veiroun, Amarante, Garlesco ou Garlesque, Verneiro,

Sud-ouest, Rabazan – Gardèche, Veiroun

6 espèces sont identifiées :

  • Le vairon basque, Phoxinus bigerri,

  • Le vairon du Danube, Phoxinus csikii,

  • Le vairon de la Manche, Phoxinus phoxinus. C’est le vairon présent sur le bassin Seine Normandie.

  • Le vairon du Languedoc, Phoxinus septimaniae,

  • Le vairon de la Garonne, Phoxinus dragarum,

  • Le vairon ligérien, Phoxinus fayollarum,

Ces espèces sont réparties par grands bassins.

 

Le vairon de la Garonne

Endémique du bassin de la Garonne, on trouve P. dragarum principalement dans la zone à barbeaux. Il préfèrera les eaux calmes et peu profondes, généralement le long des berges

 

Le vairon ligérien

On retrouve cette espèce dans le bassin de la Loire, au sein des cours d’eau de tête de bassin, peu profonds avec un substrat de type sablonneux ou graveleux.

Biologie

Le Vairon aime les eaux courantes et claires. Vit en banc. La reproduction s’étale d’avril en juillet avec un pic en mai – juin. La maturité sexuelle est atteinte à l’âge de 1 à 2 ans pour les mâles et de 2 à 3 ans pour les femelles

 

Différents mode de pêche utilisé en Lot et Garonne pour la Pêche du Vairon

Pêche à la ligne flottante

Carafe ou  Bouteille à vairon. Piège en verre blanc appâter avec de la mie de pain.

Pêche à la trouble ou troubleau : long manche en bois muni d’un filet à maille de 8-10mm (sorte d’épuisette)

Epinoche –famille des Gasterosteidae – Gasterosteus aculeatus Linné

Différents nom par rapport aux régions : Arite, Arselet, Cordonnier, Darselet, Digard, Epinard, Epinaude, Epinglotte, Epinglet, Estancelin, Picasse, picat, Savetier, crève-valet, écharde, quatre épées, Epine, Pes-picant, Etrangle-chat.

Méridianaux : Spinaubé

Sud est : Trounncut

Sud-oeut : Crébo – Varlet (Vrève-valet) – Estranglo-cat (Etrangle-chat)

 

Biologie

Il se reproduit de mars à juillet. Le mâle construit un noid avec de débris végétaux collés ensemble grâce par une sécrétion produite par les reins. Il attire la femelle qi pond ses œufs à l’intérieur du nid où le mâle les fécondes. Plusieurs femelles peuvent pondre dans un même nid. Le cannibalisme est important.

 

Pêche de l’Epinoche

L’épinoche n’est pas particulièrement recherchée pour sa pêche dans le département de Lot et Garonne.

-ligne flottante

-Carafe ou bouteille

Pêche au troubleau : long manche en bois muni d’un filet à maille de 8-10mm (sorte d’épuisette)

 

 

Anguille –Anguilla anguilla – Linné 1758 considérée comme une espèce vulnérable sur le livre rouge des espèces menacées de poissons d’eau douce de France.

Différents nom par rapport aux régions : Andrille, Andouille, Verniau, Anguielo, Pongaon, Ressa, Pimpernau, Chardiat, long-bec, Boyuvron,Maure-gain.

Larve :

Leptocéphale

Jeune anguille après la 1ère métamorphose

Civelle – Piballe – Boiron

Etat adulte :

verniaux, long-bec, Plat-bec,

Méridianaux : Anguiello,

Anguille après la 2ème métamorphose :

Anguille argentée, Pimperneau

Biologie

Leur reproduction est mal connue. Elles se reproduisent très certainement dans la mer des Sargasses à une profondeur de 400m, chaque femelle produisant environ entre 0,8 et 1,3 millions d’ovocytes. Il est supposé qu’elles meurent après la reproduction.

Au printemps les larves ou leptocéphales se laissent porter par les courants du Gulf Stream pour arriver sur les côtes continentales.

Elles se métamorphosent en civelles ou pibales, transparentes. Une partie d’entre elles restent en zone maritime les autres se laissent porter par les marées et commencent leur migration de colonisation des fleuves, rivières et ruisseaux.

Elles se nourrissent, grandissent et en quelques semaines se transforme en anguille jaune (ventre jaune à dos vert, brun)

Lors de la seconde métamorphose leur peau s’épaissit, elles ont un ventre blanc, un dos sombre, le volume oculaire quadruple, s’est alors qu’elles dévalent les cours d’eau. On les appelle alors  anguilles argentées ou de dévalaison.

Différents mode de pêche sur ces petits cours d’eau du  département de Lot et Garonne (où qui ont été utilisés)

 

-ligne de fond

-nasses anguillères pour petits cours d’eau (ne sont plus autorisées aujourd’hui)-Piège de petite taille en osier ou en grillage ayant un maillage de 10 mm, appâtés principalement avec des vers de terre.

-Foëne, se pratique plkutôt de jour dans les petits cours d'eau ou les marais. C'est sorte de fourche plate dont les bords sont élimés. En marchant dans le cours d'eau on plante la foëne, d'un coup violent, dans la vase ou les herviers; s'il ya une anguille elle est prise entre les dents de la fourche.

-à la vermée, cette pêche sa pratique surtout la nuit. On utilise une ligne ou un bâton ou parfois même d'"un simple crin enroulé dans la main, on attache au bout du crin un bas nylon rempli de vers de terre. On peut utiliser aussi enfilé les lombrics sur un fil coton. Lorsque l'anguille mord on relève doucement la ligne  hors de l'eau et à peine l'anguille est visible que l'on tend une épuisette ou, autrefois, un prarapluie. En effet dès que l'anguille se sent en danger hors de l'eau elle relâche sa prise, la technique paraît facile mais difficile à faire.

-au fagots, cette pêche est surtout utilsé dans les marais comme ceux du médoc ou du blayais ainsi que dans certains plan d'eau, peu en cours d'eau. Cette pêche consiste à ligoter des branches sèches en fagot et de les déposer en bordure des cours d'eau ou plan d'eau à l'aide d'une corde attachée à la rive.

Les anguilles viennent se refugier dans le fagot et il suffit de le retirer de l'eau et de la souer pour que les poissons sortent.

Dans les années 70 le ruisseau de Fongrane et le ruisseau le Galop étaient connus pour la présence d’écrevisses à pieds blancs aujourd’hui disparues

Ecrevisses à pieds  blancs, Austropotamobius Pallipes (Lereboullet, 1858)

L’ÉCREVISSE A PATTES BLANCHES est classée « espèce en danger » sur la liste rouge des espèces menacées établie par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature.

 

STATUT DE L'ESPÈCE

Contexte réglementaire
la loi du 10 juillet 19765 relative à la protection de la nature pose les bases de la protection juridique des espèces, en créant la notion d’ « espèce protégée », dont la préservation est d’intérêt général.
Cette loi précise notamment que la « destruction, l’altération ou la dégradation du milieu particulier à ces espèces » est interdite.
L’arrêté du 21 juillet 1983, qui impose la protection des habitats des écrevisses autochtones : l’écrevisse à pieds blancs (Austropotamobius pallipes) en fait partie.
D’autres réglementations ou programmes d’actions de protection sont prévues :
• des arrêtés de protection de biotopes, outils instaurés en1979 qui consistent essentiellement en l’interdiction d’actions ou d’activités pouvant nuire à l’objectif de conservation du ou des biotopes (destruction de talus ou de haies, chasse, pêche, emploi de pesticides, ...) ;
• la loi « pêche » de 1984, fixe les conditions d’exercice de la pêche en eau douce, notamment par des arrêtés départementaux qui règlementent strictement, voire interdisent, la pêche des écrevisses autochtones ;
• la convention de Berne, qui classe cette espèce autochtone en « espèce de faune sauvage protégée » dont l’exploitation est réglementée ;
• la directive « habitats-faune-flore « classe l’écrevisse à pieds blancs  comme espèce d’intérêt communautaire dont les habitats doivent être protégés (annexe II), espèce d’intérêt communautaire dont le prélèvement dans la nature et l’exploitation sont susceptibles de faire l’objet de mesures de gestion (annexe V)

Elle est classée sur la liste rouge des espèces menacées en France (UICN) comme Vulnérable

 

Qu’est ce que l’UICN (voir le quiz)

 

DESCRIPTION BIOLOGIE RÉPARTITION

L’écrevisse à pattes blanches vit essentiellement dans les rivières ayant une bonne qualité des eaux.

 Elle apprécie les milieux riches en abris variés la protégeant du courant ou des prédateurs. Peu active en hiver et en période froide,
l'Écrevisse à pattes blanches a une activité plutôt nocturne. La journée, elle reste généralement cachée.
Les proies des Écrevisses à pattes blanches sont des macro-invertébrés mais
aussi des larves, des têtards de grenouilles, et de petits poissons. L'été, les adultes consomment une part importante de végétaux aquatiques.
La période de reproduction s'étale d'octobre à juin et les accouplements ont lieu entre novembre et décembre.

 

Autrefois abondante dans de nombreux cours d’eau du département elle a quasiment disparue aujourd’hui.

Dans un premier temps cette écrevisse a été décimée dans de nombreux cours d’eau par une maladie appelée communément « la peste de l’écrevisse »

Se faisant plus rare, la pêche de cette espèce s’est concentrée sur les cours d’eau où elle était encore présente, ce qui a entraîné des prélèvements importants.

Les changements de cultures et les produits phytosanitaires ont contribués à leur raréfaction, notamment sur les ruisseaux de la partie Landaise.

Dans les années 2000  une espèce d’écrevisse a été introduite en France, l’écrevisse signal ou Pacifastacus léniusculus, elle colonise les mêmes milieux aquatiques et est plus agressive que notre écrevisse autochtone. De plus l’écrevisse signal est porteuse seine de la peste de l’écrevisse.

L’aménagement des bassins versant  et la création de plan d’eau en tête de bassin versant ont également contribués à leur disparition.

Pêche de l'écrevisse à Pattes blanches

La pêche des écrevisse se pratique ou se pratiquait essentiellement à l'aide de balances à écrevisses

La Balance à écrevisse est un engin de pêche, elle peut être ronde, carrée ou losangique mais la plupart du temps les pêcheurs utilisent une balance de forme ronde.

Cerceau en bois ou en fer de 30 cm de diamètre muni d’un filet à mailles de 27mm pour les espèces autochtones (le Préfet peut autorisé la pêche à la balance muni d’un filet à maille de 10 mm pour les espèces dites envahissantes)
Certaines balances peuvent avoir deux cerceaux.

 

 

Elle est appâtée avec des têtes de poissons, de la viande de mouton ou autres.

 

Dans les zones de marais elle se pêche à l’aide de fagots, comme la pêche de l’anguille décrite plus haut. (Pêche non autorisée) ou à l’aide nasses à mailles de 10 millimètres (pêche autorisée uniquement pour les espèces dites envahissantes et par arrêté préfectoral.

Dans les marais du Blayais certains pêcheurs utilisaient la pêche au carrelet portatif pour la pêche des écrevisses envahissantes

La pêche à la ligne se pratiquait couramment en Lot et Garonne dans les cours d’eau, rivières et étangs à courant lent mais uniquement pour les espèces nuisible.

La ligne est munie d’un crin, sans hameçon, d’un bouchon et d’un appât. Lorsque l’écrevisse attrape l’appât la ligne est retirée doucement hors de l’eau et lorsque l’on aperçoit l’écrevisse on tend l’épuisette pour la capturer car elle lâche sa proie dès sa sortie de l’eau; Cette technique est décrite dans la pêche de l’anguille.

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